samedi 2 juin 2012

JESUS est bien Dieu (et non "un dieu" comme l' affirme la Watch-Tower dans la Traduction du monde Nouveau

ATTENTION !!! 

Article long, 


à Méditer lentement, attentivement, car très riche en éléments suffisants pour être vraiment au clair, au final, sur la Divinité de Jésus Christ,(et sur la fausse traduction "un dieu").

Et pour convaincre même le Président de la Watch-Tower en personne,que son interprétation est ERRONEE CONCERNANT:


Jean 1 : 1, La parole était "Dieu" ou "un dieu".


A noter qu 'un des points plus importants de cette fausse doctrine

est ici Prouvé , démontré : "FAUX",  texte FALSIFIE et donc tout s' écroule pour cette Organisation , tout comme leur date de 1914,dans un des articles, ici,  etcc...

MERCI aux Témoins de Jehovah, Honnêtes qui, demeurant dans la discrétion,font savoir qu' ils reconnaissent cet enseignement EXACT !!


Et qu' il est bien question d' un "D" majuscule, et que "un dieu" est erronné !!


Cet article pour aider surtout Les Témoins de Jéhovah à se rendre à l' évidence qu' ils sont dupés, trompés par une société Malhonnête,et pourtant,  qui n'hésite pas à faire passer toutes les autres dénominations pour des "hérétiques", etc... etc...


Comment traduire Jean 1 / 1 ?


Doit-on traduire : "La parole était Dieu", "La parole était divine" ou "La parole était un dieu" ?



Un blog des témoins de Jéhovah défend, avec moult arguments, la position de la WatchTower qui traduit Jean 1 : 1c "La parole était un dieu".


J'aimerais ici exposer "les faussetés" que l'on retrouve dans les  arguments avancés sur ledit blog, après avoir examiné le message véhiculé par Jean 1/1, surtout la dernière partie dudit verset.

1. Traduction et signification de Jean 1 : 1

En arche en ho logos kai ho logos en pros ton theon kai theos en ho logos

“1 Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.” (Jean 1 : 1)



a. En arche en ho logos : “Au commencement était la Parole”
La première affirmation de Jean est “Au commencement était la Parole.” De quel commencement parle-t-il ?

Est-ce le commencement dont on parle dans Genèse 1 / 1 ou est-ce d’un autre commencement dont il est question ?

Dans son étude sur Jean 1 : 1, James White souligne que l’élément clé pour comprendre de quel commencement Jean parle 


est la forme du verbe “était” que l’apôtre Jean utilise dans cette phrase.


Il nous informe qu’en Grec, c’est le mot “en” (imparfait de eimi) qui est utilisé pour “était”.


Ce mot traduit une existence continuelle.


C’est un mot sans limitation de temps.


Il parle de l’existence avant l’époque actuelle sans aucune référence au point d’origine.


On peut repousser “le commencement” aussi loin qu’on peut l’imaginer, et, selon Jean, la Parole était déjà là. Ainsi, la Parole est éternelle, on ne peut pas fixer un point de départ à son origine.



-La Parole n’est pas une création qui est venue à l’existence “au commencement”,  parce qu’elle a précédée "ce" commencement, et elle a continuellement existée avant le début de la création.


James White démontre comment Jean est très prudent dans les mots qu’il utilise à ce sujet.



 Dans tout le chapitre 1, Jean contraste prudemment la Parole et les autres choses.

 Il utilise constamment le mot “en”  (était, imparfait de eimi) pour Logos (la Parole), et emploie constamment un verbe totalement différent en référence aux autres choses.


 Cet autre verbe est “devenir” (egeneto).


 Il est utilisé pour Jean Baptise au verset 6, pour le monde au verset 10, et pour les enfants de Dieu au verset 12.


C’est seulement quand nous arrivons au verset 14 que Jean utilise “devenir”  (egeneto) pour la Parole, et c’est quand la Parole “a été faite chair”.


Ceci fait référence à un point spécifique dans le temps, l’incarnation, et démontre l’utilisation intentionnelle par Jean de ces verbes différents.


James Withe fait remarquer qu’en Jean 8 : 58,


quand Jésus parle de l’existence d’Abraham, c’est le verbe “devenir” (egeneto) qui est utilisé tandis que pour sa propre existence éternelle, c’est “en” qui est utilisé.



 De même, dans la septante, on trouve que dans le Psaumes 90 : 2,  

“egeneto” est utilisé pour la création tandis qu’ “en”  est utilisé pour Dieu.



Dans chacun de ces deux cas, on contraste une existence éternelle (Jésus, Dieu) à une existence dont l’origine remonte à un point spécifique du temps (Abraham, la création).

b. kai ho logos en pros ton theon  : “et la Parole était avec Dieu”



-L’Apôtre Jean ne s’arrête pas simplement à nous informer de l’éternité de la Parole.


 Il ajoute “et la Parole était avec Dieu”. Ici encore, nous informe James White, nous avons le verbe “en” (était), qui fait référence à l’éternité du sujet.


La Parole était avec Dieu. Jean utilise une préposition révélatrice, le mot grec “pros” qui veut dire “être en compagnie de quelqu’un” ou être “face à face”.


 Cette préposition traduit la communion, l’interaction.

C’est une communion éternelle, une interaction dont  on ne peut situer le point d’origine.



En d’autres termes, dans le passé,  il n’existe pas  un moment où la Parole n’existait pas  avec le Père.

Après avoir affirmé que la Parole est éternelle, Jean nous distingue la Parole de Dieu (le Père).


 Dieu et la Parole ne sont pas des termes interchangeables. Jean parle-t-il de deux “dieux” ?



Peut-il y avoir plus d’un être complètement éternel ?

En tant que Juif monothéiste, Jean ne pouvait pas croire en plus d’un Etre qui puisse valablement être appelé “Dieu”. Comment comprendre sa déclaration ?


-La déclaration de Jean que “la Parole était avec Dieu” ne peut être comprise qu’avec celle qui suit, “et la Parole était Dieu.”
c. kai theos en ho logos : “et la Parole était Dieu”



-En utilisant une fois de plus le “en” (était) éternel, Jean évite la confusion en nous affirmant que la Parole était avec Dieu et que la Parole était Dieu.

Jésus, que nous reconnaissons être la Parole, ne constitue pas à lui seul la Divinité.




En d’autres termes, l’Apôtre Jean n’enseigne pas que Jésus, le Père et l’Esprit-Saint ne sont que des rôles joués par Dieu ou des titres qu’il porte.

A place, Jean enseigne la pleine divinité de la Parole, tout en nous informant que la Parole n’est pas le Père, mais que le Père et la Parole ont coexisté éternellement. 

Jean 1 : 1c enseigne que la Parole, en ce qui concerne sa nature essentielle, est Dieu. 

L’utilisation de “en” nous enseigne que la Parole a continuellement été Dieu. 

Dans le passé, il n’existe pas un moment pendant lequel la Parole n’était pas Dieu. 

La Parole n’a pas été élevée à la divinité, elle a toujours été Dieu. Jean n’appelle pas la Parole “un être divin”. 


Il utilise theos, le mot qu’il utilise avec constance pour le Père, le “seul vrai Dieu” (Jean 17 : 3).


-Pour éviter tout malentendu, Jean ajoute au verset 3 :


 “Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle.” 

Il n’existe rien qui existe qui n’aurait pas été crée par la Parole.

Le Fils a tout crée. On voit évidement que, si quelqu’un est décrit comme ayant crée toutes choses, alors cette personne est le Créateur, et certainement pas une créature.



La Parole est le Créateur, pas un être inférieur crée par Dieu pour faire le travail à sa place.


“12 C'est moi qui ai fait la terre, Et qui sur elle ai créé l'homme;



 C'est moi, ce sont mes mains qui ont déployé les cieux,


Et c'est moi qui ai disposé toute leur armée. (…)

 18 Car ainsi parle l'Éternel, Le créateur des cieux, le seul Dieu, Qui a formé la terre, qui l'a faite et qui l'a affermie, Qui l'a créée pour qu'elle ne fût pas déserte,


 Qui l'a formée pour qu'elle fût habitée: Je suis l'Éternel, et il n'y en a point d'autre.” (Esaïe 45 : 12, 18)


-Ainsi, Jean 1 : 1 pourrait être paraphrasé de la manière suivante :


“De toute éternité la Parole existait déjà, et la Parole était en communion intime avec Dieu (le Père), et la Parole était complètement Dieu.”


-2. Examen des arguments avancés pour soutenir la traduction “La Parole était un dieu
L'article que nous allons examiner aurait été écrit par un certain "Michaël" et s'intitule καὶ θεὸς ἦν ὁ λόγος : la Parole était "Dieu" ou "un dieu" ?


 Les déclarations tirées de cet article seront mis dans une autre couleur afin de pouvoir les distinguer de nos analyses.



Pour une meilleure compréhension de ce qui va suivre, il est important d’avoir à l’esprit que le mot grec pour Dieu est écrit théos  quand il est sujet,

tandis qu'il est écrit théon , quand il est objet direct (accusatif).


-Lisons maintenant ce qu’affirme Michaël pour défendre la traduction “la Parole était un dieu”.


Il dit ceci;


Dans le texte grec original, Jean 1:1 se lit ainsi (selon Westcott and Hort) :
Ἐν ἀρχῇ ἦν ὁ λόγος, καὶ ὁ λόγος ἦν πρὸς τὸν θεόν, καὶ θεὸς ἦν ὁ λόγος.



Dans ce verset, le mot grec θεὸς sans l'article défini est traduit par "Dieu" dans la majorité des traductions de la Bible (mais pas dans toutes, comme nous le verrons plus tard dans cet article).


Pourtant, ces mêmes traductions traduisent ce même mot grec sans l'article défini par "un dieu" dans d'autres versets.


Dans la version Darby, une note en bas de page -au sujet de 2 Thessaloniciens 2:4- dit : v. 4** : ou : comme un dieu.


Voir aussi Actes 28:6 (θεόν, sans article défini) dans la Darby, la Bible de Jérusalem,

 la Louis Segond 1910, Augustin Crampon 1923, la King James, la Bible en français courant, Annotée Neuchâtel, la TOB, la Bible Martin 1707, la Semeur, la Saci 1759, la Bible Fillion, l'Ostervald et la version Chouraqui.


Michaël "ne nous dit pas" que même la Traduction du Monde Nouveau  "ne traduit" pas  θεόν  (théos)  par "un dieu" dans Jean 1 : 6, 8, 12 et 18, alors que dans lesdits passages, le mot "theos" est utilisé  "sans" article défini.


"Celui-ci vint vers lui de nuit et lui dit : "Rabbi, nous savons que toi en tant qu'enseignant, tu es venu de Dieu (θεόν, theou),


car personne ne peut accomplir ces signes que tu accomplis, si Dieu (ho theos) n'est pas avec lui." (Jean 3 : 2)


"lui, sachant que le Père (lui) avait donné toutes choses dans les mains et qu'il était sorti de Dieu (θεόν, theou) et s'en allait vers Dieu (ton theon)," (Jean 13 : 3)


"Jamais personne n'a vu Dieu (theon).


Si nous continuons à nous aimer les uns les autres, Dieu (ho theos) demeure en nous et son amour est rendu parfait en nous." (1 Jean 4 : 12)

Theos est utilisé sans article défini à 282 endroits différents,

cela "ne veut pas" dire qu’à chaque fois il faut mettre l’article indéfini  “un”  pour le précéder dans les traductions françaises.


James White nous demande d’imaginer le chaos qu’on créerait si on mettait pour Dieu, l’article indéfini  “un”,  dans 2 Corinthiens 5 : 19, parce qu’en grec theos y est sans article défini.



“19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.” (2 Corinthiens 5 : 19)


Pour ce qui est d’Actes 28 : 6, voici ce que nous apprenons du Dr. J. Johnson de la California State University à Long Beach :

« Il n’y a pas de justification de quelque sorte pour traduire « THÉOS EN HO LOGOS » par « la Parole était un dieu. »


 Il n’y a pas de parallèle syntaxique avec Actes 28 : 6, où il y a une affirmation dans un discours indirect ; Jean 1 : 1 est direct (...) je ne suis ni un chrétien ni un trinitaire.»


---Michaël écrit plus loin : "Le mot grec pour Dieu est "theós", et l'article qui lui correspond est "ho".


 Quand on parle de Dieu en grec, le mot "theós" n'est pas seulement utilisé, mais "ho theós". ( dit il !! )


Ainsi, quand l'article n'est pas utilisé avec un nom, ce nom est utilisé comme un adjectif.


Jean n'a pas dit que la Parole était "ho theós", ce qui aurait voulu dire que la Parole était la même personne que Dieu.


Il a dit que la Parole était "theós"sans article défini—, ce qui veut dire que la Parole était de la même qualité, ou essence, que Dieu."


En réalité, (dit toujours MICHAEL), c'est la croyance en la Trinité et non la grammaire qui a influencé dans la plupart des traductions de la Bible en Jean 1:1, et c'est d'ailleurs ce que nous allons voir dans cet article.




Mais , en vérité, -Le passage de theos avec l’article défini (ton theo, dans la phrase : “avec Dieu”) à theos sans article défini (dans la phrase “était Dieu”) est un changement de nuance, pas pour refuser la déité à la Parole, mais pour indiquer que la Parole, bien qu’étant Dieu dans tout le sens du terme, n’est pas le Père.


C’est ainsi que certaines traductions rendent Jean 1 / 1c de la manière suivante


"and what God was the Word was" (NEB) “et ce que Dieu était, la Parole l’était.” ou "and he was the same as God" (TEV) (et il était identique à Dieu).

-Et puis, il semble que "Michaël"  "a oublié" :

2 Corinthiens 4 : 4 où "ho theos" est traduit "le dieu" même dans la version du Monde Nouveau, alors que si on suit "son" argumentaire ho theos n'est utilisé que

 pour le vrai Dieu.


"Chez qui le dieu (ho theos) de ce système  de choses (Satan, donc),   a aveuglé l'intelligence des incrédules,..." (2 Corinthiens 4 : 4, Traduction du Monde Nouveau)


C'est ainsi que dans son livre "Jesus as God: The New Testament Use of Theos in Reference to Jesus", Murray J. Harris (cité par Sam Shamoun) 


affirme que l'utilisation de theos sans article défini et theos avec article défini (ho theos)  "est interchangeable"  dans la Septante et dans le grec séculier  (mais pas capricieuse).


 Dans certains contextes, il est possible que ho theos fasse référence à la divinité d'une manière générale ou que theos (sans article défini) soit utilisé pour Dieu ou un dieu particulier.



Harris ajoute que dans le Nouveau Testament, Theos (comme Kurios) est virtuellement un nom propre et partage par conséquent l'imprécision en ce qui concerne l'utilisation de l'article qui semble marquer tous les noms propres.

A cause de cela, il souligne qu'il est "impossible" de soutenir que chaque fois que theos est utilisé sans article, il diffère de ho theos dans la signification ou dans l'emphase.


Pour illustrer cela, voici quelques versets où théos est utilisé sans article défini mais fait référence au vrai Dieu.


“Il y eut un homme envoyé de Dieu (theou): son nom était Jean.” (Jean 1 : 6)“Personne n'a jamais vu Dieu (theon);


le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l'a fait connaître.” (Jean 1 : 18,


 voir aussi Jean 1 : 12 – 13 ; 3 : 21; 8 : 54; 16 : 30 ; 19 : 7; 1 Jean 3 : 1 – 2; 2 Jean 1 : 3, 9)


-Voici maintenant quelques passages où theos apparaît avec ou sans article défini 


"sans" que cela change sa signification.


“2 qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit: Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu (theou); car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu (ho theos) n'est avec lui.” (Jean 3 : 2)



“12 Personne n'a jamais vu Dieu (theon); si nous nous aimons les uns les autres, Dieu (ho theos) demeure en nous, et son amour est parfait en nous.” (1 Jean 4 : 12)


Il existe même des passages où hos theos est appliqué à Jésus.

"22 Tout cela arriva afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète: 23 Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, Et on lui donnera le nom d'Émmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous (Meth hemon ho theos)." (Matthieu 1 : 22 – 23)



Encore plus intéressant, nous avons des passages où theos est appliqué au Père et hos theos au Fils.

"17 Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père.


Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu (kai theon mou kai theon humon). (…)



28 Thomas lui répondit: Mon Seigneur et mon Dieu! (ho kyrios mou kai ho theos mou)" (Jean 20 : 28)

Comme on le voit bien, si on suivait le raisonnement de "Michaël" et des autres témoins de Jéhovah, en lisant Jean 20 : 17 et 28, on serait amené à dire que le Père est "un dieu" et que c’est le Fils qui est "Dieu".


CAS SIMILAIRE:


Attardons nous encore sur l'utilisation de l'article défini.



Ken Guindon a fait une petite analyse sur l'utilisation de l'article défini dans la deuxième épitre de Pierre.

  Il cite  d'abord trois passages tirés de la Traduction du Monde Nouveau :

 1.<« C’est ainsi, en effet, que vous sera richement octroyée l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ. » (1,11).


2. « En effet, si, après avoir échappé aux souillures du monde par une connaissance exacte du Seigneur et Sauveur Jésus Christ, ils se trouvent de
nouveau entrainés… » (2,20).



3. « Non, mais continuez à croire dans la faveur imméritée et la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ. (3,20)

Ken Guindon attire notre attention pour constater "qu’il n’y a pas de crochets" avec des mots ajoutés pour rendre plus clair le sens et, en deuxième lieu, que Seigneur et Sauveur sont liés par la conjonction « et ».


-Il est clair qu’il s’agit toujours de la même personne ; que notre Seigneur est aussi notre Sauveur.



Ce qui n’est pas apparent pour un lecteur français ou anglais est le fait qu’en grec, ces deux substantifs sont introduits par un seul article « le » (ho) et liés par la conjonction (kai) « et ».


Il existe une règle grecque qui nous dit :


« Lorsque deux substantifs ou participes du même cas sont coordonnés par la conjonction kai (et)  


et que seulement le premier substantif possède l’article,


 le second est encore une description du premier. »


En examinant 2 Pierre 1,1 dans la Traduction du Monde Nouveau,

 Ken Guindon souligne que "les crochets" "apparaissent" pour entourer un mot ajouté 

afin de donner "un sens voulu" dans la traduction :


« Simon Pierre, esclave et apôtre de Jésus Christ à ceux qui ont reçu une foi, tenue pour aussi privilégiée que la notre, par la justice de notre Dieu et [du] Sauveur Jésus Christ. »



Comme le dit si bien Ken Guindon, "On a droit alors à se demander s’il y a de bonnes raisons "pour insérer" ce mot « du » dans le texte.

Y a-t-il une différence grammaticale qui distingue ce verset des autres déjà vus en 2 Pierre ?



 En fait, il n’y a  "aucune"   selon le grec. Les quatre exemples choisis manifestent la règle découverte par Granville Sharp au 18e siècle.

La seule différence est celle-ci : le Sauveur Jésus Christ est aussi appelé « Dieu ».



Cependant, pour les traducteurs de la T.m.n, cela ne peut être vrai ; donc,   ils se trouvent "obligés" "d’y insérer" le « "du" »

pour briser l’harmonie de la phrase où deux substantifs sont régis par un seul article et unis par « kai » (et).


 Rappelons-nous, « le second (substantif) est encore une description du premier »."


-L'autre question que pose Ken Guindon


c'est au sujet de Marc 2,28. Pourquoi « Seigneur » avec « S » majuscule lorsqu’il s’agit de la même construction grecque que celle en Jean 1/1 où la bible T.m.n lit « la Parole était dieu » avec « d » minuscule ?


-Que penser de la traduction Copte Sahidique du 3ème siècle dans laquelle on lit “la Parole était un dieu” ?


-Toujours dans l'article de "Michael" nous lisons ce qui suit :


Une traduction en Copte Sahidique du 3ème siècle nous révèle d'autres détails


Il existe une très ancienne traduction chrétienne de la Bible en langue COPTE Sahidique, faite au 3ème siècle, qui montre comment était compris le texte grec de l'évangile de Jean par les chrétiens de l'époque.


Cette traduction en copte sahidique se trouve actuellement à la Bibliothèque Chester Beatty.


Et voici comment la dernière phrase de Jean 1:1 est traduite : Auw neu-noute pe p-shaje.

Le "p" avant le mot "shaje" est l'article défini "la".

 Il est utilisé précédemment dans ce même verset pour parler du "p-noute", cet à dire, "le Dieu".



Mais, a la fin, il est question de "neu-noute", et là, il est question, non pas d'un article défini, mais de l'article indéfini "un", cet à dire, "un dieu".

-Ce que Michaël  -"omet"-  de signaler, c'est que selon l'avis des érudits, l'article indéfini dans le dialecte de Sahidique "n'est pas" l'équivalent de l'article indéfini français, ou d'un nom grec sans article.


 Il peut donner une gamme des significations, et dans le cas de John 1/1c, parle de la nature ou la qualité du Logos, de -“ce"- qu’il est” et non pas de  -qui"-


il est”  ou du fait qu'il appartient à une classe des dieux secondaires.


Robert Hommel souligne que selon les érudits (Layton, Choat, et P.J. Williams), dans le Copte Sahidique, l’utilisation d’un article était une "exigence grammaticale" en Jean 1 : 1c. P.J. Williams fait ainsi observer que copte évite des noms sans articles.




6 En conséquence, dans affirmation comme celle-là, ils ajoutent un article défini (exemple : “le Dieu est l'amour”, 1 Jean 4:8 ; PNOUTE PE TAGAPH) ou un article indéfini comme en Jean



1:1c.Ainsi, les traducteurs de Sahidique ont été confrontés au problème de devoir employer

soit l'article défini – ce qui aurait attribué le nom propre "Dieu" au Logos (et aurait probablement favorisé une certaine forme de Modalisme) –


soit l'article indéfini, pour attribuer la classe ou la nature de Dieu au Logos.


-Les grammairiens grecs  ont classifié  les noms qui dénotent la nature ou la qualité en tant que "noms qualitatifs",


et beaucoup prennent theos en Jean 1:1c pour un nom qualitatif.


 P.B. Harner suggère la traduction "La parole avait  la même nature que Dieu" comme peut-être la manière la plus précise de rendre la signification qualitative de theos Jean 1 : 1c.


Si le noute ("D/dieu") Sahidique en Jean 1:1c se rapporte à la nature du logos, il fournit l'évidence que les traducteurs travaillant dès le 3ème siècle Av.J.C.  avaient compris le  theos  en Jean 1:1c comme ayant une signification qualitative ; c'est-à-dire, que le Logos était avec Dieu, et partageait sa nature.


Dans une correspondance avec "Robert Hommel", "J.Warren Wells"


explique pourquoi le noute ("D/dieu") en copte Sahidique en Jean 1:1c se rapporte à la nature du logos, en prenant exemple de la traduction du grec 


“pneuma ho theos” (Esprit le Dieu) en Jean 4 : 24, souvent rendu par “Dieu est Esprit” ou “Dieu est un esprit”,

 les deux sens parlant de “ce que  Dieu est”, "pas" “de qui- il est”.

J. Warren Wells nous révèle que le Copte Sahidique rend littéralement Jean 4 : 24 de la manière suivante:  “un esprit est le Dieu” (P.Palau Rib 183).



Si on prenait cela pour une affirmation de qui est Dieu, cela voudrait dire que c’est un esprit quelconque parmi tant d’autres qui est Dieu.


Mais, comme pour le grec, ceci  "est une affirmation" de ce que Dieu est, une déclaration sur sa nature, sa qualité 

et non une déclaration sur son identité ou une catégorisation de sa personne.


J. Warren Wells   affirme ainsi que la traduction “la Parole était un dieu” dans le copte Sahidique 


(littéralement : “et un dieu était la Parole) est une description "ce qu’est" la Parole par rapport à Dieu, avec un accent sur sa nature, "pas" sur sa personne.


Sur son site consacré au Nouveau Testament dans le copte sahidique,


J. Warren Wells mentionne que la traduction littérale de Jean 1 / 18b dans le copte sahidique donne:


 “Dieu le Fils unique” (le Dieu le Fils unique), étant donné que Dieu est utilisé avec l’article défini.Les preuves dans la Bible même



-La traduction du grec “kai theos een ho logos” par “la Parole était un dieu”, pour parler de “qui est” la Parole, "ne cadre pas du tout" avec le contexte de la Bible entière pour les raisons suivantes :


1. Primo, l'enseignement de la Bible est qu'il n'existe  "qu'un seul" vrai Dieu et que tous les autres sont des faux dieux (en réalité des démons)


"21 Ils ont excité ma jalousie par ce qui n'est point Dieu, Ils m'ont irrité par leurs vaines idoles;



Et moi, j'exciterai leur jalousie par ce qui n'est point un peuple, Je les irriterai par une nation insensée." (Deutéronome 32 : 21)

"15 Naaman retourna vers l'homme de Dieu, avec toute sa suite. Lorsqu'il fut arrivé, il se présenta devant lui, et dit: 


Voici, je reconnais qu'il n'y a point de Dieu sur toute la terre, si ce n'est en Israël.

 Et maintenant, accepte, je te prie, un présent de la part de ton serviteur." (2 Rois 5 : 15)

"14 Ézéchias prit la lettre de la main des messagers, et la lut.


 Puis il monta à la maison de l'Éternel, et la déploya devant l'Éternel, 15 à qui il adressa cette prière:


 16 Éternel des armées, Dieu d'Israël, assis sur les chérubins! C'est toi qui es le seul Dieu de tous les royaumes de la terre, c'est toi qui as fait les cieux et la terre." (Esaïe 37 : 14 - 16)


"Ils en servaient les idoles, elles devenaient pour eux un piège! Ils avaient sacrifié leurs fils et leurs filles aux démons." (Psaumes 106 : 36 - 37, Jérusalem)


"35 Tu as été rendu témoin de ces choses, afin que tu reconnusses que l'Éternel est Dieu, qu'il n'y en a point d'autre.(...)


39 Sache donc en ce jour, et retiens dans ton coeur que l'Éternel est Dieu, en haut dans le ciel et en bas sur la terre, et qu'il n'y en a point d'autre." (Deutéronome 4 : 35, 39)


"19 Que dis-je donc? Que la viande sacrifiée aux idoles est quelque chose, ou qu'une idole est quelque chose? Nullement. 20


 je dis que ce qu'on sacrifie, on le sacrifie à des démons, et non à Dieu; or, je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons." (1 Corinthiens 10 : 19 – 20)


"8 Autrefois, ne connaissant pas Dieu, vous serviez des dieux qui ne le sont pas de leur nature;" (Galates 4 : 8)


Donc, mis à part Dieu, tous ceux qu'on appelle dieux (les idoles) ne le sont même pas par nature, ils ne sont que des démons.


Puisque les témoins de Jéhovah  reconnaissent que les démons sont des anges rebelles  (Traduction du Monde Nouveau, Edition 1995, page 1652),


et que la Bible nous informe que les idoles qu'on appelle dieux sont en réalité des démons et qu'ils ne sont pas dieux (divin) de part leur nature, alors il est faux d'affirmer que les anges sont divins par nature.


Ainsi, il n'y a que Dieu qui est divin par nature et à part lui, aucun autre être n'est divin par nature.


2. Secundo, Dieu affirme qu'il n'y a point de dieu à ses côtés


"39 Sachez donc que c'est moi qui suis Dieu, Et qu'il n'y a point de dieu près de moi (kai ouk estin theos);


Je fais vivre et je fais mourir, Je blesse et je guéris, Et personne ne délivre de ma main. (kai ouk estin hos exeleitai ek ton cheiron mou)" (Deutéronome 32 : 39)


"Voyez maintenant que moi, moi je suis lui et il n'y a pas de dieux avec moi. 


Je fais mourir, et je fais vivre. 


J'ai blessé grièvement, et moi je guérirai, et il n'y a personne qui arrache de ma main" (Deutéronome 32 : 39, Traduction du Monde Nouveau)


A côté du vrai Dieu, il n'existe aucun autre être qui est divin par nature.



 Donc, si Jésus est un autre dieu (ce qui contredirait Deutéronome 32 : 39), il doit être une idole, un faux dieu (un démon) et donc il n'est pas divin par nature, selon Galates 4 : 8.

Par contre, s'il est un vrai  "dieu" , il y a donc deux vraies divinités. Un Grand Dieu et un petit dieu.



Il est vrai que les témoins de Jéhovah enseignent que le Grand Dieu avait crée le petit dieu,    (?????)..

mais là encore cela  -contredit- Esaïe 43 : 10.


"10 Vous êtes mes témoins, dit l'Éternel, Vous, et mon serviteur que j'ai choisi, Afin que vous le sachiez, 


Que vous me croyiez et compreniez que c'est moi: Avant moi il n'a point été formé de Dieu, Et après moi il n'y en aura point.


11 C'est moi, moi qui suis l'Éternel, Et hors moi il n'y a point de sauveur. " (Esaïe 43 : 10 - 11)

Affirmer que Jésus a été crée "contredit" aussi la première partie de Jean 1 : 1 qui stipule "Au commencement était la parole".


 Comme nous l’avons vu au premier point de cet article, le verbe “en” (était) nous place avant n'importe quel "commencement" que nous pourrions choisir.


 L'action continue dans le passé, du temps imparfait du verbe eimi, nous indique que toutes les fois que le "commencement" était, la Parole existait déjà.

En d'autres termes, La Parole est éternelle - sans "commencement".


3). Tertio enfin, l'Ancien Testament nous informe que Yahweh seul a tout crée


"8 Seul, il étend les cieux, Il marche sur les hauteurs de la mer." (Job 9 : 8)


"24 Ainsi parle l'Éternel, ton rédempteur, Celui qui t'a formé dès ta naissance: Moi, l'Éternel, j'ai fait toutes choses, Seul j'ai déployé les cieux, Seul j'ai étendu la terre." (Esaïe 44 : 24)


"12 C'est moi qui ai fait la terre, Et qui sur elle ai créé l'homme; C'est moi, ce sont mes mains qui ont déployé les cieux, Et c'est moi qui ai disposé toute leur armée. (…)

18 Car ainsi parle l'Éternel, Le créateur des cieux, le seul Dieu, Qui a formé la terre, qui l'a faite et qui l'a affermie,

 Qui l'a créée pour qu'elle ne fût pas déserte, Qui l'a formée pour qu'elle fût habitée: Je suis l'Éternel, et il n'y en a point d'autre. (Esaïe 45 : 12, 18)


Etant donné que Jean, le juif, savait que Yahweh seul a tout crée, il est clair qu'il identifiait la Parole à Yahweh quand il affirma que 


"Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle." (Jean 1 : 3)


A. Yahweh seul a crée toutes choses (Job 9 : 8, Esaïe 44 : 24, Esaïe 45 : 12, 18)


B. Jésus-Christ, qui est la Parole incarnée, a crée toutes choses (Jean 1 : 1 – 3, 10, 14)  C. Alors, Jésus-Christ est Yahweh


-DES TRADUCTIONS FAUSSEMENT CITEES


Pour donner du poids à son argumentation, l’auteur de l’article que nous examinons fait appel à la traduction de theos dans l’Ancien Testament.



 Voici ce qu’il affirme :
Dans la LXX (Septante), on trouve en Isaïe 44:10, 15, 17; 45:20 les mots grec θεὸν et θεούς  sans aucun article défini.

 Et dans des versions de la Bibles telles que la Darby, la Bible de Jérusalem, la Louis Segond 1910, Augustin Crampon 1923, la King James, la Bible en français courant, Annotée Neuchâtel, la TOB, la Semeur, la Saci 1759, la Bible Fillion, et l'Ostervald,


 ces deux mots grecs sont traduits par "un dieu" (Chouraqui emploi "un El ").
.


On trouve aussi d'autres preuves en Ézékiel 28:2, dans la LXX, où le mot grec Θεός (sans l'article défini) est traduit par  "un dieu"  dans la Bible de Jérusalem (le verset 9 aussi dans cette version), la King James et d'autres.

Toujours dans la Bible de Jérusalem et la King James, les termes grec θεόν et θεοῦ (sans article défini) sont traduit par "un dieu" en Daniel 11:38, 39.


En gros, l'auteur du texte que nous examinons affirme que, dans l'Ancien Testament, le mot grec "theós" 


aurait été traduit de la Septante par "un dieu" dans les versions qu'il cite.


---Le problème--- , c'est que les versions qu'il cite n'ont "pas" traduit  l'Ancien Testament du texte grec de la septante mais plutôt  des textes hébreux, plus précisément le texte massorétique.


Impossible donc d'affirmer que c'est le mot grec "theós" qui a été traduit dans ces versions.


Prouvons cela par quelques exemples.


 Sur Wikipedia, on lit à propos de la Bible King James (Roi Jacques) :


"Le Nouveau Testament de la Bible du roi Jacques a été traduit depuis le « texte reçu » (Textus Receptus), ainsi appelé étant donné qu'il était en accord avec la majorité des textes bibliques alors existants.


L'Ancien Testament, quant à lui, est traduit depuis le texte massorétique en hébreu.



 Les bibles anglophones modernes, telles que la New American Standard Bible ou l'English Standard Version, tirent leur autorité de textes manuscrits entièrement différents."

La Septante n'a donc "pas" été utilisée pour traduire l'Ancien Testament dans la Bible King James.


On lit dans l'avertissement de la Bible de Jérusalem,


"Pour l'Ancien Testament, on suit le texte massorétique, c'est-à-dire le texte hébreu établi au VIII - IXe s. ap.J-C par des savants juifs, qui ont fixé la graphie et la vocabilisation.



C'est le texte que reproduisent la plupart des manuscrits.

Lorsque celui-ci présente des difficultés insurmontables, on s'est aidé d'autres manuscrits hébreux ou des versions anciennes, grecque, syriaque et latine principalement.



En ce cas, les corrections sont toujours signalées en note." 

Les livres de l'Ancien Testament, dans la Bible de Jérusalem n'ont pas été traduits de la septante.


 Et en plus de cela, il n'existe aucune note  qui indique que Isaïe 44:10, 15, 17; 45:20, Ézéchiel 28:2,9 ou Daniel 11:38, 39 


ont été traduit de la septante à cause des difficultés insurmontables rencontrées dans les textes hébreux.



 Procurez vous une Bible de Jérusalem et vous allez vérifier.

Pour ce qui est de la TOB, on lit sur Wikipedia :


 "La Traduction œcuménique de la Bible (TOB), parue en 1975-1976, est une traduction française de la Bible effectuée en commun par des catholiques et des protestants. 



- La participation des orthodoxes a été effective mais peu importante du fait qu'il y avait un faible nombre d'exégètes de langue française parmi eux,

 que le texte de base a été le texte hébreu et non le texte grec de la Septante,


 et à cause de désaccords liés à certains choix de traduction et certains commentaires concernant le Nouveau Testament.



" Difficile donc de citer des textes de l'Ancien Testament de cette version pour affirmer qu'ils ont été traduits de la septante.


Pour ce qui est de la traduction d'André Chouraqui s on lit sur wikipedia

"En 1987, paraît sa traduction intégrale de la Bible en français en 26 volumes, à partir du texte hébraïque dit massorétique (sédimentation de traditions orales et différents textes), dont des parties avaient été publiées à partir des années 1970.



" Là encore, pas de signe de l'utilisation de la septante, pour soutenir "la soi-disant" traduction du grec "theós" par "un dieu".


-Citons enfin la Bible du Semeur.

Bien que je ne possède pas les premières pages de la version d'études de cette Bible, j'ai compris que la traduction de l'Ancien Testament dans cette bible est basée sur les textes massorétiques en lisant la partie intitulée "Le canon et le texte de l'Ancien Testament".



A la page XVI de la Bible du Semeur, on lit ce qui suit :

"Concernant le texte de la Bible du Semeur, il arrive donc que la traduction suppose une correction du texte massorétique, auquel cas les raisons en sont indiquées en note;


ou bien le texte suit le texte massorétique, mais de proposition des corrections en sont signalées en note."



Ceci veut dire que l'Ancien Testament dans la Bible du Semeur a été traduit  à partir du texte massorétique.

A certains endroits on corrige ce texte, pour des raisons indiquées en note ou on ne corrige pas le texte mais propose des corrections que l'on signale en note.


REFERENCES :


-Sam Shamoun, The Real Truth of John 1:1


-Robert Hommel , John 1:1c in the Sahidic Coptic Translation : What the Scholars Really Said


-Bible Commentary, John 1 : 1-Ken Guindon, L’artile défini (PDF)


-James White, John 1:1 Meaning and Translation




--Comment voulez vous que des gens, débordés par leur travaux profanes, maisons et enfants à tenir et élever,travail, etc..,


ainsi que des horaires quasiment obligés de réunions à la salle du royaume, les "porte à porte", études personnelles,


Aucune connaissance ,ou très peu, des langues Hébreu et Grecque, des originaux biblique donc,    etc..., ces gens aient la possibilité, le temps  de "VERIFIER" si ce que leur dit cette société Satanique leur enseigne est EXACT ....selon Actes CH 17/11.


-De plus, on les met en garde contre les autres dénominations etc.., en provoquant une "MEFIANCE" contre elles....


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Merci !!

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